Si votre employeur vous propose un accord de règlement et que vous estimez que ce n’est pas suffisant, il est peut-être selon les spécialiste en constat huissier internet et constat huissier internet a Saint Symphorien sur Coise, temps de négocier davantage. Une contre-offre bien formulée fera toute la différence.

Pourquoi faire une contre-offre ?

Souvent, un employeur commence par faire une offre délibérément basse, en s’attendant à ce que vous négociiez en conséquence. Ainsi, si vous ne faites pas de contre-offre, vous risquez de passer à côté d’une somme d’argent qu’il est prêt à vous verser.

Même si votre employeur considère que sa première offre est équitable, il est possible que vous puissiez encore négocier. Après tout, l’employeur n’apprécie peut-être pas la valeur totale de vos droits légaux.

Quel montant devez-vous demander ?

Le montant que vous demandez doit tenir compte de ce qui suit :

  • La question de savoir si votre employeur a agi de manière équitable et raisonnable.
  • la raison pour laquelle votre employeur veut mettre fin à votre emploi
  • la durée probable de votre arrêt de travail
  • des conditions de votre contrat de travail et de toute politique du personnel.

Il y a un certain nombre de questions à prendre en compte. Vous trouverez peut-être utile de lire cet article sur ce que vous pouvez attendre d’un accord de règlement.

Quand devez-vous faire la contre-offre ?

Après tout, il peut y avoir des avantages à répondre plus tôt, en particulier si vous trouvez le processus stressant. C’est pourquoi nous vous recommandons de ne pas prendre plus de temps que nécessaire pour prendre une décision et planifier votre contre-offre.

Doit-elle être faite sans préjudice et/ou dans le cadre d’une conversation protégée ?

Selon la règle “sans préjudice”, toute discussion que vous entendez mener pour résoudre un litige est confidentielle. Cela signifie qu’aucune des parties ne peut utiliser ces communications comme preuve. Toutefois, le problème de la règle sans préjudice est qu’elle ne s’applique que s’il y a un différend existant.

C’est pourquoi les conversations protégées sont importantes. Elles permettent aux employeurs et à leur personnel d’avoir des discussions de règlement, même lorsqu’il n’y a pas de conflit existant.

En pratique, la différence entre la règle sans préjudice et les règles relatives aux conversations protégées n’a souvent aucune importance. Nous vous conseillons de mener les négociations dans le cadre d’une conversation protégée et sans préjudice. De cette façon, il est tout à fait clair que les discussions ne sont pas enregistrées.

À qui la contre-offre doit-elle être adressée ?

Devez-vous envoyer votre contre-offre au département RH ? Ou à votre supérieur hiérarchique ? Ou encore au directeur général ? En règle générale, il est préférable d’envoyer la contre-offre à la personne qui vous a envoyé l’offre initiale. Si nécessaire, elle peut consulter d’autres personnes avant de vous répondre.

Avez-vous besoin d’un avis juridique avant de faire une contre-offre ?

Bien que la loi vous oblige à obtenir un avis juridique sur votre accord de règlement avant de le signer, il est préférable de vous adresser à un avocat à un stade précoce. De nombreux conseillers proposent une première consultation gratuite d’une demi-heure maximum, vous n’avez donc rien à perdre. Le fait de faire savoir à votre employeur que vous avez parlé à un avocat peut donner plus de poids à votre contre-offre.

Devriez-vous faire la contre-offre par écrit ou verbalement ?

Le fait de répondre verbalement ou par écrit dépend de votre stratégie de négociation. Par exemple, vous pouvez négocier sur la base de la bonne volonté, en faisant appel à l’empathie ou au sens de la responsabilité morale de votre entreprise. Dans ces circonstances, une conversation en face à face peut être la meilleure solution, car elle permet de maintenir une relation constructive. En revanche, les courriels peuvent souvent être mal compris ou être perçus comme menaçants.

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